Je suis sur le do pendant qu’il reste du vers dans le pré
Ainsi chante l’enfant qui est en moi depuis des années
oh si lucide
que ça échappe à plus d’un
Mais échapper au banc du galérien
n’est-ce pas nager libre ?
En tout cas c’est pas barboter
(au sens propre comme au sale)
Il y des crotales dans les escaliers des villes
comme des ailés fans dans la roseraie
mais des oiseaux qui nichent pour peindre bleu c’est plus rare
Quel foutu bazar que ce souk
où on peut même pas marchander la contrainte
Mais à tout prendre
je me sens moi d’être petit
je vois le monde tel qu’il hait
voilà qui me donne une raison majeure
d’aimer
Niala-Loisobleu – 21 Septembre 2017
Suzanne Valadon
La devanture des choses à vendre ne faisant pas la taille, il reste la liberté de leur garder leur nudité pure.
Merci Sana.
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Merci Marguerite, c’est du pétale de bon augure.
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Il y’a de l’air pour stationner de la musique.
Merci Boris.
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Un do diaise qui soulève l’essaim, Célestine.
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